Ambrouille a encore frappé....
Ce matin nous, on va courir avec Ambrouille, une sacreée course puisqu' il lui a fallut être attachée tout le temps du canicross quoi, parce que devant nous il y avait un autre coureur, et comme Ambrouille veut toujours être la première et bien elle a tractée, j'aurai cru que ça la fatiguerai, en tout cas moi oui 
On rentre à la maison et je m'installe devant l'ordi histoire de voir les nouvelles, puis je sors dehors préparer le déjeuner, moins d'une heure s'était écoulée, et Ambrouille me montre quelque chose au fond du jardin, croyant que c'est un baton je luid emande de me le rapporter, mais aussitôt dans sa gueule je m'aperçois que c'est une poule d'eau, Ambrouille me la rapporte, me la donne, je la félicite et la pose sur la table, pendant ce temps j'appelle Céline et lui dit de dire à GReg de passer cherhcer le gibier, mais c'était sans compter l'ardeur d'Ambrouille au travail, car pendant le coup de fil, elle m'en rapporte une deuxième.
Il m'a donc fallu les dépouiller, les vider , les nettoyer, puis les mettre au congèl en attendant de pouvoir les farcir aux truffes cet hiver.
Honnetement je suis surprise car je n'ai rien entendu.
Toujours est-il que ces poules d'eau étaient jeunes, et du coup elles ne devaient pas savoir qu'il ne fallait pas passer dans le jardin.
Je vous dirai si elles sont bonnes, une chose est sûre Ambrouille, elle a apprécié les abats.
Le lendemain on est allé au marché et on en a profité pour demander au boucher-charcutier-traiteur, s'il avait une idée de comment cela se préparer, pas de chance, lui non plus ne savait pas, il m'a proposé de les cuisiner comme du gibier, en les faisant mariner.
Puis je lui ai demandé un os, il n'en avait qu'un et un mailloche, car il ne pouvait même pas le débiter à la scie, alors quand Ambrouille l'a vu, fallait voir les yeux qu'elle a fait, ben je lui ai dit qu'on le prenait, Ambrouille était carrément fière avec son os plus gros qu'elle.
On rentre à la maison et je m'installe devant l'ordi histoire de voir les nouvelles, puis je sors dehors préparer le déjeuner, moins d'une heure s'était écoulée, et Ambrouille me montre quelque chose au fond du jardin, croyant que c'est un baton je luid emande de me le rapporter, mais aussitôt dans sa gueule je m'aperçois que c'est une poule d'eau, Ambrouille me la rapporte, me la donne, je la félicite et la pose sur la table, pendant ce temps j'appelle Céline et lui dit de dire à GReg de passer cherhcer le gibier, mais c'était sans compter l'ardeur d'Ambrouille au travail, car pendant le coup de fil, elle m'en rapporte une deuxième.
Il m'a donc fallu les dépouiller, les vider , les nettoyer, puis les mettre au congèl en attendant de pouvoir les farcir aux truffes cet hiver.
Honnetement je suis surprise car je n'ai rien entendu.
Toujours est-il que ces poules d'eau étaient jeunes, et du coup elles ne devaient pas savoir qu'il ne fallait pas passer dans le jardin.
Je vous dirai si elles sont bonnes, une chose est sûre Ambrouille, elle a apprécié les abats.
Le lendemain on est allé au marché et on en a profité pour demander au boucher-charcutier-traiteur, s'il avait une idée de comment cela se préparer, pas de chance, lui non plus ne savait pas, il m'a proposé de les cuisiner comme du gibier, en les faisant mariner.
Puis je lui ai demandé un os, il n'en avait qu'un et un mailloche, car il ne pouvait même pas le débiter à la scie, alors quand Ambrouille l'a vu, fallait voir les yeux qu'elle a fait, ben je lui ai dit qu'on le prenait, Ambrouille était carrément fière avec son os plus gros qu'elle.