Hier j'ai chassé un lièvre, une biche et des tas de lapins...
Et bien voilà tout est dit dans le titre, hier soir après le travail, maîtresse est rentrée, je lui ai fait une grosse fête, histoire de me montrer des plus gentilles. Je voyais bien qu'elle n'avait pas envie d'aller courir, alors je lui ai fait des yeux doux, et puis finalement elle a cédé pour une promenade, une petite a-t-elle dit.
Nous voilà parties, comme d'hab, je songe à emmener ma laisse, même si maîtresse ne me la met jamais, moi je la promène, elle aussi est contente.Au bout d'un certain temps évidemment je la laisse, alors maîtresse me demande de la lui rapporter, ce que je m'empresse de faire, et on fait notre petit tour.
Vous savez je me réserve toujours pour faire ma petite crotte dans les champs, comme ça les autres chiens savent que je suis passée par ici.
J'étais toute contente. Au détour d'un jardin, le propriétaire de ce dernier avait mis des fils, que le vent fait vibrer pour éloigner les oiseaux. Moi j'ai bien entendu le bruit, mais j'ai d'abord cru que c'était une bête, alors j'ai couru autour du jardin, sauf qu'au moment où il n'y avait plus de fil, j'ai compris, alors j'ai regardé en l'air, tourné la tête comme je sais si bien le faire, et je suis repartie à fond la caisse, ça a bien fait rire maîtresse, je l'ai vu qui se fichait de moi.
Et puis d'un coup une odeur formidable, en plus c'était cool maîtresse était loin, alors elle avait beau me rappeler, j'ai d'abord soigneusement enduit mon corps, mon dos, et mes épaules de cette "magnifique" effluve pour aller la rejoindre. Elle m'a tout de suite senti, elle n'a pas eu de mal à trouvé l'endroit du délit, et elle m'a dit que je puai.
Suite à quoi, Maîtresse décide de couper à travers champ pour éviter l'autre mare, elle a du s'en mordre les doigts, car un lièvre a démarré juste devant nous et bien entendu comme tout terrier qui se respecte, je l'ai pris en chasse, en faisant mes petits kaü kaü. Là, elle le sait bien inutile de m'appeler alors elle s'est dépêchée de me rejoindre, dans la chênaie, pendant que je suivais la piste toute chaude du lièvre. Mais sans doute dans la chênaie, soit une autre odeur était plus forte, ou bien un bruit m'a davantage interpellée, mais j'ai pris derrière une biche. Ma maîtresse qui m'attendait au coin du champ, ne voyant rien venir, m'a appelée, et là, maîtresse a entendu du bruit sur sa gauche, pensant que c'était moi, elle s'est retournée un peu brusquement. En réalité c'était une belle biche, pas à plus de 5 mètres d'elle, et moi je filai derrière, là maîtresse a du se dire pourvu qu'elle ne sorte pas, le "elle" c'était moi, sinon ça se compliquait car la biche avait pris dans le champ de maïs et ce dernier gigantesque donne sur une route.
Mais je suis sortie, la langue pendante, brûlante par l'effort, mais toute fière de moi, maîtresse me félicite et me rappelle au pied pour reprendre par le chemin, ce que je fais malgré moi, car les odeurs je les sentais toujours, j'essayais bien d'échapper à sa vigilance, mais comme elle est instit, et qu'elle a un jack russell, autant vous dire qu'elle sait qu'il ne faut pas me quitter des yeux quelques secondes, surtout en de pareilles circonstances.
Et nous avons rebroussé chemin, vers la maison, j'ai bien écouté, je ne suis pas allée dans les champs de maïs qui bordent les routes, je suis restée sagement sur le chemin, malgré toutes ces odeurs qui me taraudaient le pif.
Mais à un moment, presqu'arrivées, maîtresse a baissé la garde, et j'en ai profité pour me faufiler dans le fossé. Un fossé profond et encombré de végétation.
Le temps que maîtresse me rejoigne j'en faisais déjà fuir de toute part, des lapins, surtout des petits et des moyens, mais des tas, ils s'arrêtaient juste aux pieds de maîtresse, pourquoi ne chasse-t-elle pas. Qu'est-ce qu'on aurait pu se mettre sous la langue.
Bref, j'ai fureter de longues minutes, moi dans le boulot, je m'en suis pas vraiment rendue compte j'étais trop occupée, en revanche, vu la gueulante que je me suis prise, je pense que ça a du durer un bail.
Toujours est-il que mon aventure s'est terminée parce que j'ai déciddé de rattraper un lapin qui avait fui le fossé, et couru à travers champ, j'ai fait comme lui, mais maîtresse a bien essayé de me rattraper, et quand j'ai entendu le ton, je me suis dit qu'il était temps que j'arrête.
Donc elle m'a rattachée (heureusement que je pense toujours à lui dire d'emmener la laisse), et bien que j'avais encore très envie de retourner dans le fossé, cueillir quelques lapins, on est rentrée à la maison.
Après une petite douche froide, j'étais encore tout excitée de mes aventures, et je n'étais aps décidée à me calmer de si tôt.
Ce matin, les orties m'avaient irritées la gueule, et les oreilles, je dois avoir encore les yeux tout griffés par les ronces, alors maîtresse m'a mises des gouttes. Bref, je pense que ce matin je vais bien dormir.
Et en partant, maîtresse ce matin elle a vu un lapin dans le jardin, il vaut mieux pour lui qu'il ne soit plus là à midi sinon ce va être sa fête.
Nous voilà parties, comme d'hab, je songe à emmener ma laisse, même si maîtresse ne me la met jamais, moi je la promène, elle aussi est contente.Au bout d'un certain temps évidemment je la laisse, alors maîtresse me demande de la lui rapporter, ce que je m'empresse de faire, et on fait notre petit tour.
Vous savez je me réserve toujours pour faire ma petite crotte dans les champs, comme ça les autres chiens savent que je suis passée par ici.
J'étais toute contente. Au détour d'un jardin, le propriétaire de ce dernier avait mis des fils, que le vent fait vibrer pour éloigner les oiseaux. Moi j'ai bien entendu le bruit, mais j'ai d'abord cru que c'était une bête, alors j'ai couru autour du jardin, sauf qu'au moment où il n'y avait plus de fil, j'ai compris, alors j'ai regardé en l'air, tourné la tête comme je sais si bien le faire, et je suis repartie à fond la caisse, ça a bien fait rire maîtresse, je l'ai vu qui se fichait de moi.
Et puis d'un coup une odeur formidable, en plus c'était cool maîtresse était loin, alors elle avait beau me rappeler, j'ai d'abord soigneusement enduit mon corps, mon dos, et mes épaules de cette "magnifique" effluve pour aller la rejoindre. Elle m'a tout de suite senti, elle n'a pas eu de mal à trouvé l'endroit du délit, et elle m'a dit que je puai.
Suite à quoi, Maîtresse décide de couper à travers champ pour éviter l'autre mare, elle a du s'en mordre les doigts, car un lièvre a démarré juste devant nous et bien entendu comme tout terrier qui se respecte, je l'ai pris en chasse, en faisant mes petits kaü kaü. Là, elle le sait bien inutile de m'appeler alors elle s'est dépêchée de me rejoindre, dans la chênaie, pendant que je suivais la piste toute chaude du lièvre. Mais sans doute dans la chênaie, soit une autre odeur était plus forte, ou bien un bruit m'a davantage interpellée, mais j'ai pris derrière une biche. Ma maîtresse qui m'attendait au coin du champ, ne voyant rien venir, m'a appelée, et là, maîtresse a entendu du bruit sur sa gauche, pensant que c'était moi, elle s'est retournée un peu brusquement. En réalité c'était une belle biche, pas à plus de 5 mètres d'elle, et moi je filai derrière, là maîtresse a du se dire pourvu qu'elle ne sorte pas, le "elle" c'était moi, sinon ça se compliquait car la biche avait pris dans le champ de maïs et ce dernier gigantesque donne sur une route.
Mais je suis sortie, la langue pendante, brûlante par l'effort, mais toute fière de moi, maîtresse me félicite et me rappelle au pied pour reprendre par le chemin, ce que je fais malgré moi, car les odeurs je les sentais toujours, j'essayais bien d'échapper à sa vigilance, mais comme elle est instit, et qu'elle a un jack russell, autant vous dire qu'elle sait qu'il ne faut pas me quitter des yeux quelques secondes, surtout en de pareilles circonstances.
Et nous avons rebroussé chemin, vers la maison, j'ai bien écouté, je ne suis pas allée dans les champs de maïs qui bordent les routes, je suis restée sagement sur le chemin, malgré toutes ces odeurs qui me taraudaient le pif.
Mais à un moment, presqu'arrivées, maîtresse a baissé la garde, et j'en ai profité pour me faufiler dans le fossé. Un fossé profond et encombré de végétation.
Le temps que maîtresse me rejoigne j'en faisais déjà fuir de toute part, des lapins, surtout des petits et des moyens, mais des tas, ils s'arrêtaient juste aux pieds de maîtresse, pourquoi ne chasse-t-elle pas. Qu'est-ce qu'on aurait pu se mettre sous la langue.
Bref, j'ai fureter de longues minutes, moi dans le boulot, je m'en suis pas vraiment rendue compte j'étais trop occupée, en revanche, vu la gueulante que je me suis prise, je pense que ça a du durer un bail.
Toujours est-il que mon aventure s'est terminée parce que j'ai déciddé de rattraper un lapin qui avait fui le fossé, et couru à travers champ, j'ai fait comme lui, mais maîtresse a bien essayé de me rattraper, et quand j'ai entendu le ton, je me suis dit qu'il était temps que j'arrête.
Donc elle m'a rattachée (heureusement que je pense toujours à lui dire d'emmener la laisse), et bien que j'avais encore très envie de retourner dans le fossé, cueillir quelques lapins, on est rentrée à la maison.
Après une petite douche froide, j'étais encore tout excitée de mes aventures, et je n'étais aps décidée à me calmer de si tôt.
Ce matin, les orties m'avaient irritées la gueule, et les oreilles, je dois avoir encore les yeux tout griffés par les ronces, alors maîtresse m'a mises des gouttes. Bref, je pense que ce matin je vais bien dormir.
Et en partant, maîtresse ce matin elle a vu un lapin dans le jardin, il vaut mieux pour lui qu'il ne soit plus là à midi sinon ce va être sa fête.